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Zone Euro : l’heure de vérité approche
05/11/2008 08:01
Nicolas SARKOZY doit mettre ses actes en accord avec ses discours.
Le refus de M. JUNCKER, Premier ministre du Luxembourg, et de l’Allemagne, d’un gouvernement économique de la zone euro est une très mauvaise nouvelle pour l’Europe et la France.
Le Président de la République, Nicolas Sarkozy, est aujourd’hui face à un choix majeur :
Soit il s’incline et perd alors toute crédibilité, ses discours n’étant qu’incantatoires, l’Europe n’étant capable que de sauver les banques sans relancer son économie.
Soit il a enfin le courage de poser la question de la participation de la France à la zone euro et des suites à donner au Traité de Lisbonne.
Seule en effet une épreuve de force permettrait à la France d’obtenir de ses partenaires un vrai changement de fonctionnement de la BCE et de la zone euro.
La France n’est d’ailleurs pas seule en Europe. De plus en plus d’Européens savent que la zone euro ne peut plus être dirigée par M. JUNCKER, dirigeant d’un paradis fiscal qui s’exonère des disciplines communes, et empêche toute politique de relance, pourtant nécessaire au rebond de l’économie européenne.
Nicolas DUPONT-AIGNAN Député de l’Essonne Président du parti gaulliste Debout la République
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Quelle économie après la crise ?
03/11/2008 18:17
lundi 3 novembre 2008
Dans une remarquable étude prospective, Jacques SAPIR revient sur les conséquences possibles ou probables de la crise économique mondiale.
Retour de l’Etat, augmentation de l’inflation, rééquilibrage entre salaires et profits, entre offre et demande, avenir de l’euro,... la liste est longue des éléments de notre paysage économique qui devraient ressortir bouleversés de la crise.
http://www.debout-la-republique.fr/Quelle-economie-apres-la-crise.html
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Pendant que l’assemblée nationale refuse de réglementer le système financier, le sénat cadenasse Internet.
02/11/2008 14:48
Par Nicolas Dupont-Aignan
L’indécence n’a plus de limite : alors qu’on annonce un feu roulant de plans sociaux, de mises au chômage technique, le gouvernement n’a rien trouvé de mieux que de déclarer l’urgence sur le projet de «riposte graduée» sur Internet visant à confier à l’industrie du divertissement le contrôle d’une juridiction d’exception qui supervisera une «haute autorité» chargée de la surveillance généralisée des internautes dans le but de détecter des échanges de MP3 ou de DivX.
La riposte graduée n'est rien d'autre qu'un dispositif de sanction aboutissant à la coupure de la connexion à la suite de 2 avertissements par émail dans le cas du téléchargement du moindre morceau de musique par un internaute... Pour être mise en œuvre, il est nécessaire de surveiller toutes les connexions des internautes. Ce sont donc des moyens colossaux qui seront utilisés afin de protéger le modèle économique dépassé des majors du disque. C’est effectivement très urgent !
Développement de la Radio, Cassette audio, CD gravable, baladeurs MP3, à chaque innovation on a droit aux mêmes arguments qui annoncent la fin de la création musicale. L’urgence d’en finir avec les échanges sur Internet est donc plus que discutable.
En 2005 l’urgence avait déjà été utilisée pour faciliter l’adoption de la loi DADVSI. Malgré ce processus démocratique «accéléré» quelques députés, de tous bords politique, dont je faisais partie, avaient réussi à faire passer (le temps d’un amendement éphémère) le projet de «Licence Globale», qui remplaçait les droits d’auteurs menacés d’extinction par une contribution minimum sur chaque abonnement haut débit. Certains de nos détracteurs de 2005 commencent à l’évoquer comme l’une des solutions possibles pour financer la création. Malheureusement le gouvernement en retard d’une guerre s’entête. Les sénateurs viennent de voter le projet absurde de la ministre de la culture. On croit rêver, au moment où la majorité à l’assemblée nationale refuse de taxer les stock-options, celle du sénat s’attaque à la liberté des échanges quand à elle très positive sur internet.
Honnêtement le système des échanges financiers cause bien plus de problèmes économiques que celui des systèmes « peer to peer » !
Échanges d’obligations pourries, spéculations, défiscalisations, transferts de fonds dans des paradis fiscaux … Pas de soucis pour les élites financières et bancaires, le libre échange, quelles qu’en soient les conséquences, eux, y ont droit sans restrictions et à vos frais si ça tourne mal. Mais par contre si vous avez le malheur d’échanger des MP3 vous devrez subir les foudres des majors de l’industrie du divertissement via une juridiction d’exception dont il est clair qu’elle sera illégale car anticonstitutionnelle, et à laquelle je m’opposerais comme je l’avais annoncé lors de la journée libre accès en juin dernier .
PS : De nombreuse initiatives ont vu le jour ces derniers mois sur Internet comme celles de la Quadrature du Net ou de l’UFC que Choisir qui a décidé de traiter la question avec humour avec le site ca-va-couper.fr . Ils informent et alertent les internautes sur les graves dérives auxquelles nous sommes confrontés. Avec des citoyens plus que jamais informés de ce qui se décide à leur place le débat à l’assemblée risque d’être intéressant.
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Amnésie du PS quand à ses propres privatisations sous l'ère Jospin
30/10/2008 12:53
Ce jour, la lettre n°12 des socialistes, demande l’arrêt des privatisations à commencer par celle de
la Poste. Le PS est scandalisé par cette crise financière née d’une spéculation effrénée qui généra tant de profits pour une élite d’actionnaire et qui amena, à ce jour, des pertes financières qu’épongera seul l’Etat par le biais de nos impôts.
Pourtant, aussi loin que remonte ma mémoire, j’ai souvenir que ce phénomène des privatisations fut fait aussi bien par l’UMP (Chirac, Balladur, Sarkozy) que par le PS (Jospin), des socialistes qui s’illustrèrent par la privatisation de France Télécom entre autres.
Depuis 10 ans, Nicolas Dupont – Aignan dénonçe cette gabegie, reprochant à ces gouvernements successifs de brader « les bijoux de famille » afin de complaire aux euro - technocrates (adeptes de l’ultra – libéralisme qui nous a amené à cette situation). Durant ces 10 années il reprocha au PS et à l’UMP le renoncement à une certaine idée de
la France que le Général de Gaulle avait insufflé.
Aujourd’hui, à la faveur d’une crise sans précédents, engendrée par cet ultra – libéralisme appelé pudiquement « Mondialisation », système qui fut prôné par l’UMP et par le PS, ce même PS se la joue défenseur des intérêts populaire en s’élevant contre une énième privatisation, résultante d’une politique qu’ils ont sans cesse approuvé avec leurs amis de l’UMP. Dernièrement, n’ont – ils pas voté pour ce mini – traité initié par Sarkozy sur le dos des peuples Français et Hollandais ? Au passage, DLR remercie à nouveau les Irlandais qui défendirent tous les peuples européens par leur positionnement contre cette machine à broyer qu’est l’actuelle Union Européenne. Un PS qui a trahis son électorat populaire, un PS qui n’a plus aucunes consciences des problèmes quotidiens de nos concitoyens, bref un PS qui a trahis sa vocation première : service
la France et les Français…
PW
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